BURNING INSTANT KARMA
BIO Burning Instant Karma : Fred et Clem étaient associés dans une fabrication de fromage artisanal à base de lait Humain,…apres quoi ils mirent la clé sous la porte pour se consacrer à la musique. Suite à des années de consommation de fromage humain, Fred s’est pris d’un dynamisme, d’un optimisme et d’une joie de vivre sans précédent qui perdure encore… En plus de la musique, Clément fabrique toujours (de manière clandestine) Du Moloko plus !….Un breuvage issu d’un film culte dont la matière première et autres ingrédients semblent douteux. quand on sais son ancienne activité avec Fred…ils en consomment régulièrement avant les concerts. Barber Ced : le bassiste du groupe n’a jamais caché son adoration pour les femmes. A la suite de rares visites de clientes dans son barber shop (pour homme) il entendait de sombres anecdotes sur la maltraitante de ces dernières… Coupe choux à la main, sourire aux lèvres, bacchantes bien gominées. Il ne perd pas l’occasion de venger ses clientes en faisant chanter la lame de son rasoir sous la gorges des malfaiteurs. Certain l’appel « le Sweeney todd du var » Jouer de la basse calme beaucoup ses ardeurs. Adeline, la chaman guérisseuse spécialiste de l’Aura, du chemin des esprits et des flammes jumelles soigne ses patients par des séances de tatouage aux différents pouvoirs mystiques et guérisseurs. Elle à rejoint le groupe pour libérer son savoir faire sur le monde grâce à sa voix possédée et aux vibrations hypnotiques de son puissant Didgeridoo. A feu vif ou a feu doux, faites vous réchauffer le coeur et crépiter les sens par la délicieuse voix féminine et la musique envoutante de ces 4 amis voyageurs. * Burning Instant Karma / Rock Psyché Progressif / Fréjus * Groupe de Rock psyché progressif Formé en 2017 Burning Instant Karma se compose de 4 musiciens à la folie douce, composant au rythme de leurs cœurs. 4 âmes faites de folie douce
MIHUMA
Entre Gainsbourg, Bashung et Renaud, Mihuma a décidé de ne pas choisir. Cœur de rappeur, âme de poète, multi-instrumentiste autodidacte, Mihuma traverse les styles comme le voyageur les pays : avec goût et intérêt, jamais en touriste. Adepte de la prise de risque artistique, il joue avec les influences et côtoie aisément le rock autant que le rap. De nature expérimentale, sa musique sert surtout ses mots, souvent poétiques, acerbes et critiques, toujours percutants. Mihuma a des messages, et il compte bien les faire passer. Coûte que coûte.
Il s'est fait connaître via l'album Music'All véritable OVNI réunissant Oxmo Puccino, Féfé, Casey ou encore le célèbre Sidney H.I.P H.O.P. Les concerts qui en ont découlé entre 2008 et 2010 l'ont mené du Trabendo au Duc des Lombards, du Bataclan au Parc de la Vilette. Respecté dans le milieu du Hip-Hop, Mihuma préfère tracer sa route plus loin, quelque part entre l'underground et l'expérimental. Pour lui, chaque morceau doit être un voyage, un aller-simple. Constamment en mouvement, Mihuma repousse les limites de son flow, ce qui en fait un chanteur unique, un narrapeur. Les chansons "provoc" se mêlent à la poésie, Mihuma l'auteur prenant la plume pour déclamer ses vers en public comme lors du Hermae Festival (Fréjus) en 2016.
En 2014 sort son premier album solo, Les esprits clairs voient dans le noir (IDOL). Réalisé par Mitch Olivier (Renaud, les Rita Mitsuko, Bashung, Doc Gyneco...), on y entend l'accordéoniste de Barbara ou encore l'iconoclaste Francis Lalanne. Le succès modeste de ce bijou rock'n'roll n'a pas découragé Mihuma, bien au contraire. Mihuma retourne au travail, bien épaulé par le guitariste Stefane Goldman (Imany, JP Nataf...), compagnon des tout-débuts. Sa rencontre avec le beatmaker Gyver Hypman, producteur notamment du Saïan Supa Crew, lui a donné l'occasion d'élargir son horizon. Fusion totale des deux univers, zones de confort qui explosent... Le Hip-Hop/reggae de Gyver mêlé à la voix et aux textes de Mihuma a donné naissance à une pièce unique, un son hybride qui fera date dans l'Histoire de la chanson Française : Friture sur la ligne.
Mihuma franchit toutes les limites sur cet EP de 6 titres. Jouant avec les codes, de la pochette au dernier titre. Le narrappeur semble se foutre de tout, et ça marche. Le premier morceau, La Plage, est tout simplement un chef-d'oeuvre ; Sept minutes de descente aux enfers, de folie pure, qui nous plongent au sein de ses émotions les plus denses. On est coincé avec sa voix, qui nous entraîne au fond, au bout du vide. La suite n'est que du voyage émotionnel ; on passe d'un style à l'autre, de la tristesse à la révolte, de l'amour au fou rire... Le tout sur un fond musical inattendu mais toujours bien senti. Mihuma est à l'aise dans tous les styles et compte bien le montrer. A la fin des 25 minutes de Friture sur la ligne, on se demande bien ce qui s'est passé. On reste avec nos questions alors on se remet le disque. Parce qu'on est parti ailleurs...
… Au fond de nous-mêmes.
RIPOLIN
C’est leur tout premier concert . C’est bien cool que cela ce passe au Monster’S Art